Catégories : Hommes fessés
il y a 1 an
Sous un ciel d’éclaircis nous marchons sur un chemin qui sépare un champ d’orge - beige - de cultures maraîchères - vert-violet. J’aime randonner, le contact avec la nature ; cette petite plaine ici me plaît beaucoup. Aujourd’hui j’ai emmené Serge avec moi ; à part ses lamentations ponctuelles cette matinée me plaît.
Il nous reste à rejoindre une forêt, la traverser par une petite colline et notre périple d’une demi-journée sera achevé. Le petit topo que l’on m’a confié indique qu’à l’orée du bois il faudra prendre un sentier à gauche. Rendu au point en question, il existe en fait deux sentiers qui montent à gauche.
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«Eh bien voilà encore une incertitude ! On prend quel chemin à gauche maintenant ? Il y a eu pleins de complications dans cette ballade ce qui coupe notre rythme. Ça m’énerve !!!» peste Serge.
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«Tu râles à nouveau Serge alors qu’on marche tranquillement depuis ce matin. Je te l’ai déjà dit rien de plus détendant que la rando, mais avec toi qui geins...» Cela m’agace vraiment, mon compagnon du jour savait que je venais me relâcher avec cette marche clairement, il n’en tient pas compte. Je décide qu’on emprunte le sentier le plus à droite parmi les deux. Nous cheminons quelques minutes, ce sentier s’étiole petit à petit. Visiblement c’est l’autre qu’il fallait prendre. Nous coupons à travers bois pour le rattraper, c’est plus raide mais ça passe. Jusqu’à ce qu’on ai retrouvé la bonne route, j’entends souffler, grogner, derrière moi. Je retiens ma colère.
Arrivée au parking on se désaltère, change de chaussures, je vois l’homme qui m’a suivi faire la moue.
- « Encore un problème ?»
- « Ben regardes cette voiture il m’a collé.»
- « Tu es déçu de la ballade Serge ?»
- «Non je suis content d’être sorti, bien sûr Mallorie.»
- «Alors tu as parsemé la journée de plaintes, remarques désagréables. Et tu m’as fait la gueule.»
- « Ah non je t’ai pas fait la gueule. J’ai apprécié que tu me l’ai proposé cette rando. Il y a eu de légers imprévus, que j’ai exprimé, voilà tout.» Annonce t-il d’une petite voix, comme cherchant à justifier son attitude. Je ne répond pas, et range mes affaires dans le coffre.
Je veux désormais accélérer les choses et casser cette ambiance un peu gachée.
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«Bon on y va, tu me conduis chez moi.»
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« Mais Mallorie ta voiture est garée en bas de mon immeuble, il faut d’abord passer chez moi.»
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«Non ! C’est direct à mon domicile. La voiture je la récupérerai ensuite. Démarres et fais vite !» Serge prends la route sans tarder, penaud n’ose rien dire. Je suis moi-même surprise par mon accès d’autorité et son obéissance soudaine. Devant chez moi, mon chauffeur arrête son véhicule Je reprends mon sac à dos et mes chaussures, la fenêtre conducteur s’ouvre pour me saluer. Mais cela ne va pas se dérouler comme il l’imagine.
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«Descends tu m’accompagne dans mon appartement Serge. Allez j’ai quelque chose à t’expliquer.» Après l’effarement il obtempère à nouveau. Dans l’ascenseur je le regarde fixement, bien que cela ne soit pas toujours dans mes pratiques. J’ai quelques années de plus que lui. Est-ce pour cela qu’il semble intimidé dans ce lieu confiné ? Entrés dans mon domicile je nous sers des rafraîchissements, puis sans transition j’investis le milieu de la pièce. Immobile les jambes légèrement écartées et les bras croisés je toise une fois de plus l’homme qui lui regarde ailleurs.
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«Tu sais un peu ce que je vais te dire Serge ?»
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«Non pas vraiment. Je perçois que mes commentaires pendant la randonnée t’ont un peu marqué. C’est cela dont tu souhaites parler ?»
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«Tes ‘commentaires’ ??? ça a été une continuité de critiques et mauvaise volonté. Tu m’as retiré la satisfaction de marcher et t’es enfermé dans la diatribe. D’ailleurs tu n’as rien retenu de la journée.». Mon visage contracte mes yeux se noircissent et le ton devient plus sec :
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«Cela m’a heurté mais vraiment Serge. J’ai retenu ma colère tant qu’on cheminait mais là, il faut que tu te rende compte que ton attitude plus que déplaisante doit être corrigée !»
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«Ah ? Il y a de la déception alors. Je suis désolé Mallorie» Répond-il avec une voix redevenue fluette.
Mon regard doit exprimer à la fois la contrariété et l’intransigeance, Serge courbe la nuque et semble être la cible d’un réquisitoire. Instinctivement je le laisse bien deux minutes dans cette état de malaise. Ma colère se mêle désormais aux plaisirs de rendre, temporairement cet homme sous mon contrôle et vraisemblablement de me faire suffisamment comprendre.
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« Ainsi, comme je viens de te l’indiquer il est question d’une correction pour toi.»
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«Une correction ? Mais c’est quoi pour toi ?» Il ne proteste pas mais demande simplement la suite. Je le tiens maintenant ! Je ne songeais pas y arriver aussi aisément.
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«Je vais te donner une fessée. Pour t’apprendre à garder un comportement admissible.»
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«Tu peux pas faire ça !»
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«Ah mais si je peux !!! Je l’ai déjà fait avec Hélène.»
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«Ok j’admets bien mon erreur cependant quand même...»
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«Tes fesses vont recevoir, crois-moi ça va y aller. Oui c’est une punition qui t’attend. Pour que tu assimiles mon déplaisir, les regrets c’est trop tard. Ce sera comme si j’étais une autorité.»
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«Je pourrais partir de chez toi non ?»
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«Tu pourrais, mais dans ce cas j’annonce aux autres que tu t’ai pris un véritable savon de ma part et que tu n’es pas du tout sortable.»
Serge ne dit plus rien et admet que la seule issue est de se faire punir par une amie. Une perspective très gênante qu’il n’a jamais connu. Il me regarde, défait, attendant les instructions. Je suis entièrement satisfaite du résultat.
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«Pour commencer tu vas t’asseoir sur le canapé et méditer sur ton attitude de ce matin.» Je pars dans ma chambre et je reprends mes mots-croisés de la veille, en y mettant tout le temps nécessaire. Après un moment qui a dû lui paraître fort long. Je rejoins l’homme à punir. Automatiquement il se lève en ma présence.
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«Cela t’a fais du bien ce temps de réflexion Serge ?»
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«Peut-être, en effet. Alors comme avec Hélène ?»
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«Oui monsieur, sauf qu’elle avait gardé sa jupe. Toi ce sera les fesses à l’air. Tu vas faire face à cette chaise et placer tes mains sur l’assise.» Il s’installe, je prends à nouveau le temps de le faire patienter.
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«Comme tu sembles découvrir ce genre de pratique, je te laisse le choix : soit tu te déculottes, soit je le fais moi-même. Mon attention ne se porte pas sur ton sexe mais bien tes fesses que je vais rougir.» Il s’exécute seul.
Je me place à ses cotés et porte ma main droite sur une fesse. Il ne cache plus son sentiment d’humiliation. Les claques commencent demi-lune par demi-lune. Puis cela augmente en intensité, puis en vitesse. La fessée devient puissance et son derrière rouge. Serge ferme les yeux et fait de petits bons à chaque coup. Visiblement il encaisse pas trop mal, alors je refais l’exercice mais maintenant avec la main plus basse, à la séparation entre les fesses et les cuisses. Les grimaces reprennent et avec la rapidité des claques Serge pousse de légers cris de douleurs.
Je stoppe la correction, et après un dernier sermon je lui confie mes clés de voiture. Il est chargé de la ramener ici, en allant chez lui en bus. L’idée qui devra probablement attendre à l’arrêt vu que nous sommes un dimanche me procure autant de plaisir que de lui avoir donner sa première fessée d’adulte.
Mallorie. Que vous êtes gentille. Moi qui ne suit pas un soumis mais qui me soumet depuis 16-17 ans. Je peux vous affirmer queles choses auraientdébuté au cours de la balade et qu'en suite au retour à la maison c'était une trempe. | |
Aujourd'hui l'expérience aidant je me serais pas aventuré à râler | |
Pauvre Serge : double peine avec l'attente du bus un dimanche ! | |
Merci pour ce beau récit . | |
Tres bon recit....il n est pas pres de recommencer de raler pour tout et rien.... | |
La prochaine fessée aura peut-être lieu en pleine nature, histoire de lui remettre les idées en place. |
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